Clark Kent est-il VRAIMENT un trou du cul?...

Que la vie est belle. La vie est belle et bonne, et si Dieu existe, il ne peut être que barbu, parce que tous les barbus sont des mecs bien. Et moi je suis son instrument, je suis le marteau piqueur du Saint-esprit. Bing bing bing !

…Que la foi est bonne.

Bon, y'en a marre des salamalèques! Je ne vous parlerai pas de crayons de couleur aujourd'hui. D'une part parce que je commence à aimer ça (dans la mesure où je n'ai pas à m'en servir, je laisse ce plaisir à mon associé) et de l'autre parce que moi j'ai la banane tandis que Murtaugh non (la note du 22, c'était lui).

Nan, je suis ici pour revenir sur le cas fort épineux de Clark Kent. Et pour tout vous dire, je ne suis pas sûr de m’être bien fait comprendre la dernière fois. Alors voilà: Non, Clark Kent n'est pas vraiment un enculé. Ni Superman d'ailleurs.

A mon humble avis, lorsqu'il a quitté le Kansas pour aller travailler à Métropolis comme journaliste, il s'est dis que faire semblant d'être un sale con pouvait l’aider à mieux cacher son identité secrète.

Avouez qu’il fallait y penser.





Pour une fois je vais dédier ces quelques gribouillis à une amie de longue date qui a plus ou moins le même caractère que Loïs Lane et qui me quitte pour les hoodies de London. Wish you luck bitch!

Vous reprendrez du babouin ?

Hé voila un petit truc vite fait (bon ok, en 4h -_-) ce matin... Plus je me sert de la plume et plus j'aime ça. L'histoire n'a pas vraiment de fin, et mon discour point de cohérence. Mais n'ayez crainte car bientôt : des choses formidables.

Smell like indian spirit

Allez, pour une fois je vais faire bref, je vais pas vous raconter ma vie. J'ai des choses plus intéressantes à faire - comme ranger mes chaussettes.

Ah monde de merde! J'en ai marre des crayons de couleurs, j'en ai marre de dessiner, mais par dessus tout, j'en ai marre de vous parler. Oui, à vous là, derrière votre écran (et en particulier TOI!!!).

Tou dou dou dou...

Mes peregrinations sur le web m'ont fait voir moult endroits beaux et colorés... ce serait injuste de les garder juste pour moi ...

Donc petit message pour vous faire part des modifications et ajouts dans la fameuse barre des liens :

Ajout de gens qu'on connait :

-Le blog de Lucile vient d'ouvrir ! Pour l'instant y'a pas encore des masses de trucs, mais à priori, ça devrait être beaucoup d'illustration pour enfants... un truc de fille quoi. C'est pas sur rouflaquett qu'on verrait ça ! MouHARAHAHA ! (rire gras).

-SilkScreen Corsair : Blog de T.perrodin, qui sérigraphie comme il respire, et poste ses créations. Parfois il me donne envie de lever les bras au ciel et de crier : "pourquoi ?". Thomas si tu nous écoute : j'te kiffe.

Ajout de 4 blogs de dessineux :

-Lorelay Bove : Il à bossé pour pixar, il bosse pour disney, c'est une pointure, et chacune de ces illustrations me donne de tels coups de pieds au fondement que j'en manque parfois de me mordre un rein.

-Diburros : Le blog de Marcelo Braga... Je n'en sait pas des masses sur lui, mais il à l'air fan de Mignola... (a voir absolument : son projet de spin-off des schtroumpf : j'éspère qu'il existera un jour...).

-DummComics : Ils sont 5, ils ont un blog, et postent des BD depuis quelques mois... Plus qu'à ajouter qu'ils viennent tous du milieux de l'animation, et que j'aime bien leur boulot ^^ (mes préférés : mercredi et jeudi.

-Blog volume : Des dessins psychés et colorés, et des maquettes en volume. Impressionnant.


ET voila, et voilou, c'est tout ^^.

Le réveil sera dur... ou il ne sera pas.

Je suis le genre de mec qui se cherche en permanence des béquilles pour dessiner différemment. En gors je fais jouer l'effet placebo à son maximum, sinon j'arrive à rien.
Ma béquille du moment, c'est de déssiner à la plume sur des post-it.
Alors voila une pitite BD à propos de réveil difficile. C'est pas top mais bon, c'est t'en en faisant que je réussirais'je à en faire mieux...







Et voilààààà !
Si les autres membres de rouflaquett pouvait me donner leurs recettes contre les réveils difficiles, je suis pas contre. Car bientôt c'est la rentrée, et les lecteurs comme moi même aprécieront toute information disponible...

Et si Clark Kent était un trou du cul?

Je n'en peux plus mes amis! La coupe est pleine! I need a break...and some kitkat ballssss!

Depuis maintenant deux semaines, nous sommes en train de vivre une expérience psychédélique à base de crayons de couleurs, et comme je l'ai déjà répété maintes et maintes fois, la couleur c'est pas mon fort (et on m'a formellement interdit de passer un coup de pinceau sur nos planches). Surtout que pour l'instant nos premiers dessins sont assez...hum, comment dire...ah oui je sais: mauvais, nous dessins sont mauvais.

Mais mon petit Murtaugh s'éclate, alors tant mieux, si ça peux lui faire oublier le fait qu'il n'a pas de travail et que je n'ai plus d'école. Heureusement pour moi j'ai trouvé une excuse pour échapper aux crayons de couleurs, et j'ai pris 5 minutes pour vous parler de Superman. On plutôt de Clark Kent.

Superman, c'est un mec bien. Il croit en l'american way of life, ne ment jamais, et porte son slip par dessus ses collants. Mais lorsqu'il se "déguise" en Clark Kent il devient faible et trouillard.

Ceux d'entre vous qui ont vu KillBill se souviennent sûrement du monologue de David Carradine sur Superman. Et je partage avec enthousiaste cette avis, Clark Kent est un petit enculé. Un arriviste suce-boule à tronche de premier de la classe, mi-Christian Bale, mi-Jean François Copé.

Morphée va morfler.

Le sommeil à transformé mes yeux en valises, le texte sera donc bref.
Pour être précis oreiller, je commence à avoir du couette mal à détourner mes pensés de certaines matelas idées fixes pour les concentrer sur ce que je fais...

Voici donc la douceur tiède suite de la BD pictographique postée il y'a peu...

HO ! Je finis sur un cliffhanger incroyable edredon ! Que va t'il bien pouvoir se rêve de pin-up suedoises passer ensuite ?

Toutes saucisse de morteau ces réponses, et bien plus, dans le prochaine épisode de cette aventure DORMIR fantastique qui n'a pas encore de titre !

The fix is in it ...

Mesdames Medemoiselles, Messieurs, ce soir Rouflaquett passe en pictochromie et en vectovision :

Après moult éssais pour réaliser des notes potables à la main, j'ai fini par revenir au vecteur, qui est pour moi une lumière salvatrice au milieu de l'océan de ma médiocrité dessinatoire (je me sent lyrique ces temps ci).
Ainsi je vais tenter de constituer de petites histoires à partir du langage de cette courte introduction. C'est encore asser simple (je m'en voudrais de perdre immédiatement tout lecteur potentiel), mais promis, plus tard, je ferais fondre vos cerveaux par des trames de lecture complètement dingues et qui en plus répondrons à une logique.

Journal du singe :
En ce moment, tout va bien : J'en suis à la première étape du plan suivant :
Boulot -> Argent -> Indépendance -> Auto-satisfaction -> Joie
... et j'anticipe sur les deux dernières étapes.


PS : Je poste cette note à 3h00 du mat. Si il le fallait, je me ferais même teindre en blonde pour rouflaquett.
PPS : Je suis particulièrement fier de la façon dont j'ai pictogramé ce napolitain...

Miracle italien et têtes du turcs

Chers adeptes de la Rouflaquette, voici comme promis un petit compte rendu de notre séjour à Bologne.
Les 32 heures d'autocar aller-retour valaient bien la peine, ne serait-ce que pour vivre ce moment rare et précieux: croyez-le ou non, un phénomène absolument paranormal s'est produit alors que nous étions chez un couple de retraités sur le point de nous faire visiter un chouette appartement, à deux pas du Stadio Dall'Ara, théâtre des derniers exploits bolonais et calcistiques du torride Pagliuca (certes, je m'égare, mais c'est pour entretenir le suspens).
Figurez-vous que ce jour-là, Kreun s'est tu. Pendant au moins une demie-heure.
Dieu bénisse la sainte barrière de la langue...






Etant donné que je rêve de poser mes valises en Italie depuis au moins dix ans, j'étais plus ou moins préparée linguistiquement, à grand coup de matage intensif de la Rai (c'est dire si j'ai du mérite) et autres lectures régulières de la Gazzetta dello Sport.
J'ai donc passé ces quatre jours à me la raconter en roulant des "r" et en donnant du "Va bene" à tout va.
A un moment donné, il a bien fallu qu'on me remette à ma place...





Pour conclure, j'étais venue (aussi) pour voir du mâle, du torse-poil bombé et du slip en pagaille...
Un grand merci à Kreun, donc, de m'avoir permis de profiter de la vue depuis la fenêtre de sa chambre d'hôtel.






C'est flou mais c'est bon.

Dualité

Ah comme le temps passe vite! Sachez mes chers amis rouflaqueux que d'ici 24h je rentre sur Angoulême la belle, rejoindre mon compagnon de misère, pour nous mettre (enfin) à bosser sérieusement sur notre prochain best-seller, un conte gothique et coloré dont je vous offre un bref aperçu.



Bon, c'est un peu de la triche parce que cette image ne sera pas dans la BD en question, mais c'est juste pour présenter un peu le ton et le genre de graphisme qu'on essaye d'avoir.

Alors non, je n'ai pas changé mon fusil d'épaule, et je reste convaincu que les crayons de couleurs, c'est pour les tapettes. Mais le 9ème art demande quelques sacrifices, et je sais que Murtaugh sera disposé à les faire, et par là même, absorber ses testicules (d'ailleurs, bande de gougnafiers, il serait peut-être temps d'apprendre à prononcer correctement son nom: c'est "meurtof" et pas "murtögue"!).

Ah ouais et tant que j'y suis , contrairement à ce qu'a insinué ce pti con il y a quelques semaines je ne suis pas accro au cerné noir, et c'est vicieux de sa part d'insinuer que je me contente de repasser derrière lui avec mon gros pinceau.

Mais comme je l'aime comme une soeur, et qu'il me fait de la peine, je vais lui tendre le bâton pour me taper. Alors voilà deux planches, un peu torchées parce que faites en une nuit...ou plutôt refaites - j'ai dessiné à partir de dessins tout moisies qu'on avait fait avant l'été.

Un grand merçi à la toujours aussi belle Zo' pour m'avoir ramené de Bologne un DYLAN DOG dont la lecture m'a donné envie de dessiner jusqu'au bout de la nuit, et jusqu'au bout de mes rêves.





(Tout ceux et celles qui ont cru que par "mon gros pinceau" je ne pouvais en fait que parler de mon sexe, n'ont pas tord d'avoir pensé ce qu'ils ont pensé)

Un petit quelque chose à mettre sous la dent...

Rouflaquetteuses, rouflaquetteurs...

Bonjour !

Etant en ce moment occupé par des cours d'italiens avec mon ami Aldo Maccione, je ne puis vous satisfaire pour l'instant ( ma yé fé cé qué yé pé!) d'un prodigieux récit de nos rocambolesques aventures italiennes avec Zo... maiiissss ça va venir, je le sens bien...

Néanmoins, je ne saurai vous laissez sur votre faim, et vous offre un petit hors d'oeuvre pour patienter,

voici donc, le portrait de l'homme à qui Riggs a tenu, courageusement tête dans le métro...



un vieil homme édenté au doux prénom de Charles Maurice... et là je dis un mythe s'effondre, Riggs avait face à lui un vieux retraité parisien,

ce bon français n'aurait pas dit "vas-y qu’est ce qui t’prend bâtard ! Baisse les yeux ! Baisse les yeux" mais... "excusez moi jeune homme, je dois aller à Baltard et j'ai fait tombé mes oeufs, pourriez vous ramasser mes oeufs"

oui le mythe s'effondre je vois la femme au foyer s'ouvrir les veines en apprenant la nouvelle, je vois l'enfant de 12 ans s'enfermer dans la voiture de ses parents au soleil, je vois tout ces gens, trahis par ce héros qu'était pour eux Riggs... snif, j'en pleure tellement je suis dégouté...

attendez...

ho, suis je bête, je me suis trompé,

nan nan, pas de problème, c'est une erreur, Riggs a bien fait face à une racaille de la pire espèce,

ce personnage n'est en rien un quelconque retraité parisien, mais il s'agit d'un personnage de ma futur BD sur Franco, ce personnage sera le maître d'hotel de ces messieurs les dictateurs...

huhu, suis je tête en l'air moi dis donc...

oui ?

ha... merde

kof kof, j'ai le regret de vous annoncer la mort du petit Kevin 12 ans, mort dans la BX citroën de ses parents, le pauvre petit a été prévenu trop tard de mon erreur...

Ca s'passe comme ça dans l'tromé!

Attention, histoire vraie!

Je suis à République, sur le quai de la ligne 5 et il est un peu plus de minuit – j’attend donc le dernier train.

Soudain j'entends des hurlements, provenant d'un mec par terre et qui se fait tabasser par quatre ou cinq gros lascars. Et croyez-le ou non, j'ai immédiatement foncé vers eux pour essayer de faire quelque chose (…quoi, ça je pourrai pas trop vous dire).

Mais arrivé à deux mètres de la bande, je comprend que le type à terre est en faite mort de rire, et qu'il ne fait que s'amuser avec ses ptis camarades, dont malheureusement pour moi, j'avais attiré l'attention.

...et ils n'étaient pas vraiment jouasse que je débarque à toute berzingue dans leur petit espace privé, surtout si c’était pour jouer les cowboys.

Là, un grand truc tout sec avec une tête à avoir fait beaucoup trop d'heures de gardes à vue, s'approche de moi, très très TRÈS près de mon visage de poupon, et me regarde comme ça.



Alors bien sûr, je suis mort de trouille à l’idée de me faire casser la gueule par de si charmants jeunes hommes…mais j’essaye de reste cool, prés à filer deux ou trois mandales avant qu'on démonter, façon puzzle.

Le grand en face de moi est de plus en plus chaud « vas-y qu’est ce qui t’prend bâtard ! Baisse les yeux ! Baisse les yeux ! », pendant que les autres lascars attendent que ça pète. Mais comme je suis un pti rigolo, je tente une ouverture, je me penche sur le coté et demande à ses potes « Y va m’embrasser ? ».

Coup de bol, les mecs se mettent à se marrer comme des baleines, en se foutant de la gueule du grand maigre. Et moi je m’éclipse tel un ninja, sors du métro et rentre à pied.