Attention, chantier!

J'ai essayer d'encrer une page qu'on est sensé faire pour Thierry Groensteen (je reviendrai là dessus la semaine prochaine), mais j'ai un peu de mal, ce qui rend le dessin...moche

Merde, j'ai perdu le modjo, la vibe, le truc qui pète et qui rend mon coup de pinceau fluide et bandant. Et comme vous ne m'êtes pas très sympathique, j'ai décidé de vous infliger les deux cases réalisées.



Finalement on va plutôt bosser en couleur mais comme on a pas beaucoup de temps, je vais probablement aider Murtaugh avec ses crayons, (ce qui le rend un peu nerveux, mouhahahahahaha...)

Et un grand bravo à Monkey pour son si beau U!

And now something completely different...

Il se peut que ceci soit ma dernière note en provenance d'Italie: l'heure est aux examens, aux préparatifs de départ, aux arrivederci, et je ne pense pas pouvoir revenir vous abreuver de Boublicitude avant la fin de ce fort chouette séjour.
D'ailleurs, je n'ai pas grand chose à poster, alors je vous balance une page trailer de mon petit projet du moment.


Vous avez vu, c'est révolutionnaire, j'utilise un format carré... et c'est en noir et blanc...et puis...non rien.)


Bon, et puis comme vous n'avez pas encore eu droit à des photos d'Italie, voici deux cartes postales de Venise, la cité des éléphants lubriques et des cappuccinos sympas...





"Cappuccinos sympas"...ha ha...non? Bon... ('tain vous etes pas marrants...)

Et Dieu créa l'inspiration (enfin pas pour tout le monde)

Voici un des essais pour un prochain travail au jardin d'Eden... pas trés original mais pas beaucoup inspirée ces temps-ci et puis c'est un prétexte pour dessiner plein de motifs (et oui encore)

Euh !!! Et puis j'ai envie de dire ... MERDEEUUUHH

c'est tout .

Désolé Tartine.

On a un peu molesté la petite Tartine l'autre jour, mais elle le méritait...car elle a été vilaine, très vilaine...

Alors non, je refuse de lui foutre la paix, et j'ai pas l'impression d'exagérer dans la mesure où on partage un atelier avec elle et que je la vois tout les jours remplir des carnets entier de dessins!



Prend garde à toi Kreun, tu es le prochain sur notre liste!

C'est l'histoire d'un mec....

Lorsqu'on en a plein les bourses de gribouiller, Riggs et moi nous arrêtons, regardons le ciel et les nuages, et après on mange. Des kebbabs le plus souvent, mais aussi des pizzas, des pains aux raisins et des donuts (des tas). Et lorsqu'on mange pas, on dort...

...bon,tout ça pour dire que, comme vous le savez déjà, nous aimons nous adonner aux joies de la réalisation, avec un certains brio que je ne peux que saluer (et ouais, c'est comme ça).

Le morceau de péloche du jour est une chtite vidéo faite avec amour il y a quelques temps, et qui aurait du aboutir à un court-métrage (rien que ça!).

Faute de temps et de moyens ("et d'ambition" me dit l'autre) on n'aura pu filmer que le début - ce qui est con parce que c'était la seconde partie de l'histoire qui était kiffante - avec une intrigue et du sang, z'auriez adorés!)...mais bon, je trouve que ça passe quand même. Ca fait un peu film d'Art et d'essai.

Je ne vous laisserai même pas l'occasion de faire des sous-entendus sur la tension homosexuelle qui règne dans cette vidéo, je préfère le dire clairement: OUI, présenté de la sorte, on facilement peut imaginer que quelqu'un va se faire péter la rondelle sur la plage arrière...

101eme POST !

Wouhou !
Chers lecteurs, public, amis, pin-up suédoises, aujourd'hui je suis fier de l'annoncer à la face du monde : Le blog rouflaquett à passé la barre symbolique des 100 posts.
Cette limite nous le confirme : Rouflaquett, qui tel le bon vin n'à fait que devenir plus goutu depuis sa création, est désormais pret à entrer en pleine maturité, et à prendre de la jambe, du jarret, et une belle robe fruitée (un pagne de bananes quoi).
En liesse, les challenges se frappent à nos portes, et nous leurs renvoyons leurs acclamations avec bonté divine, bien que tout cela soit un peu confu, mais qu'importe, fenètre*.

Or puisque 100 posts, ça se fête, et que je n'avais pas de pin-up velue en réserve, j'en profite pour remettre à jour le fond de rouflaquett (projet murement travaillé depuis des semaines à la sueur de mes doigts...).

Un fond plus coloré, plus compliqué, et de mon point de vue : plus mieux.
Plus mieux egalement : vous aprecierez le plus grand espace de la fenètre de postage, qui fait que maintenant, nos dessins seront vus plus grands -et peut être plus à l'abri de ce fond carrément agressif-.

Si vous avez des suggestions sur ce nouveau fond, n'hésitez pas à les faire, et je pesterais dans ma barbe avant de me replonger en tremblant sur ce motif qui m'a endommagé l'encéphal à vie.

Bien sûr, il reste encore de menus réglages à effectuer (typos, couleurs de la bannière, ect.), et ils le seront, dés lors que j'aurais un peu dormi -parce qu'il est 2h du matin quand même-.

Je vous aime, vive la Rouflaquett et les poils.


*Hohoho...

Gondola, gondola, gondola!

Une nouvelle note qui donne envie d'aimer tendre, d'aimer vrai.
Une note qui prouve au monde entier que je ne suis pas que l'individu rustre et poilophile que vous connaissez, et que sous ces pectoraux volumineux se cache un petit coeur niais qui bat.



La preuve qu'on peut etre fan du "Zizi" de Pierre Perret (la chanson, pas le contenu de son slip) et de Lou Reed en meme temps...

L'explication à ce soudain accès de romantisme, c'est que la veille, j'ai vu Venise. Et je n'aurai jamais cru qu'un tel cliché de carte postale pourrait à ce point me laisser sur le cul. Quand je serai grande, je me marierai avec un gondolier.

Et puisqu'on parle d'amour,je peux bien vous le dire, à vous; la semaine dernière j'ai visuellement rencontré l'homme de ma vie dans une rue de Bologne. Un coup de foudre, ça ne peut pas s'expliquer, ça vous tombe dessus et vous n'y pouvez rien. Je batifolais donc joyeusement sur mon petit nuage rose jusqu'à ce que Kreun (toujours lui) me fasse remarquer qu'en général, un type vetu d'une soutane marron ceintrée par une corde, c'est un moine.
Too bad...

Attends j't'explique...

Au fil du temps, Riggs et moi avons élaboré une routine bien huilé qui nous permet de travailler ensemble sans trop brider la créativitude de l'autre (et accessoirement éviter de se foutre sur la gueule). Et c'est cette merveilleuse méthode que je vais vous expliquer zaujourd'hui même!

D'abord, on se met d'accord sur le dessin...



...que je fais au crayon de papier...



...puis Riggs le refait au pinceau, histoire de "charpenter" les formes.



Enfin, à bout de souffle, je fais les couleurs avec mes légendaires crayons. Et Voilà!



C'est passionnant pas vrai...Non? Ah...

...mais bon on n'est que deux à mettre des notes sur ce putain de blog, alors merde faut bien raconter quelque chose!

V. et Murtaugh

Pendant que Riggs nous fait partager ses fantasmes homosexuels autour de ma petite personne, je consacre mon temps et mon énergie à d'autres personnages, à la pilosité certes moins développée, mais qui ne parle pas sans cesse de zombie et de Marc Dorcel.

Depuis le temps qu'on partage notre atelier avec V. je me suis dit que ça serait con de le laisser tout seul dans son coin à parler tout seul (car il parle tout seul le bougre).

Alors oui, j'ai fait une infidélité à notre moustachu, mais on se connait bien maintenant, z'êtes pas non plus tout blanc et je sais très bien ce que vous faites de vos soirées. Et puis ça fait un bien monstre de pas se prendre la tête sur la narration et la forme.



Je sais, ya pas mal de choses à revoir (en particulier sur le contraste couleurs/pinceau noir) mais c'est notre première tentative alors m'emmerdez pas!

Ma vie mal dessinée...

La semaine dernière a eu lieu le fameux festival de "Fumetto" de Bologne; BilBolBul (rien que le nom, moi ça me fait fondre...).
Comme j'ai acheté des BD pour la première fois de ma vie, je me suis dis que, pour la première fois de ma vie je pourrais éventuellement quémander une ou deux dédicaces...




Après une demie-heure d'attente (les auteurs ne dédicaçent que pendant une heure), une demoiselle lippue nous annonce que Gipi ne viendra pas.Alors pour me consoler de cette immense déception, je vous montre quand meme le bout de papier avec mon numero, que j'ai fini par obtenir à la sueur de mon front. Le tampon BilBolBul atteste de son authenticité, ça rigole pas...



Enfin, BilBolBul ne fut pas non plus totalement traumatisant, meme si j'ai malencontreusement déclenché l'alarme de la Pinacothèque de Bologne en plein vernissage de l'expo Charles Burns en la confondant avec une chasse-d'eau (je sais, il faut le faire...bah, je l'ai fait.)...

(Petit dessin pourri explicatif:)


Autant vous dire que j'ai eu les BilBolBoules... (Mouaha...ha...non?Bon...)