Pas d’vacances pour les vrais gars !

Pour une fois, je ne vais pas tirer sur l’ambulance et vous féliciter, vous mes chers rouflaqueux. Je suis agréablement surpris par toute cette magie, cette boublicitude que vous nous avez apportez dernièrement. Même le petit Kreun c’est mis un coup de Jean Marie Weston dans le derch, et a révélé au monde ses préférences politiques, pour notre plus grand plaisir.

(Non, je ne dirais rien sur Tartine, je suis de bonne humeur là !)

A dire vrai, l’objet de mon mécontentement mesure 1,73m, aime avoir les cheveux gras mouillés, arbore fièrement une magnifique moustache et reste persuadé d’être le fils caché de Tom Selleck. Sachez mes chers rouflaqueux, que ce n’est pas chose facile que de collaborer avec ce petit con de Riggs (vous l’aviez reconnu pas vrai?), surtout que depuis plusieurs semaines, il n’en branle pas une au point que j’ai une irrésistible et féroce envie de lui tarter la tronche à coup de botin !


Et sinon, c’est officiel, nous sommes coincés tout l’été sur Angoulême. Mais comptez pas sur nous pour rester le cul devant la xbox (si un peu quand même), on va gratter, gribouiller, cravacher et vous lâcher plein de dessins colorés pour égailler votre été.

Bravo Monsieur Hortefeux...

Aujourd'hui laissons un peu la place au courrier des lecteurs,

Et c'est la lettre de A.H. qui nous a énormément émue par sa... Frontalité... et sa heuuuu... sincérité... En plus de sa magnifique lettre monsieur nous a fait la gentillesse de nous envoyer une jolie cassette.

"
Bravo Monsieur Hortefeux.

Le petit Brice monte... Monte... On l'avait perdu de vue, faisant la chasse aux travailleurs immigrés comme ministre du travail, maintenant on le retrouve à l'intérieur... C'est quand même mieux qu'à l'immigration... Bah oui l'intérieur, ça englobe tout, il va pouvoir s'affairer le bougre, nettoyage, ratissage, épouillage… telle est sa devise, en plus des travailleurs immigrés il va AUSSI s’occuper des immigrés sans travail, des immigrés en retraite, des immigrés à l’école etc.

Non parce que y en a marre, hier encore je le croisais au supermarché le Brice, et y m’racontait une histoire qui lui était arrivée l’an passé en route pour les vacances :

« Cet été, sur une aire d'autoroute, je rencontre cinq personnes noires. Comme elles ont l'air de me reconnaître, je vais vers elles pour les saluer et je leur demande : Vous êtes d'où ? - De Caen - Oui d'accord, mais vous êtes d'où ? - Ben... de Caen. Heureusement, j'ai compris à temps et je n'ai pas insisté. C'est là que j'ai compris toute la profondeur de ma mission. »

Halala, j’ai bien rigolé, non parce que c’est important de rigoler quand une histoire elle est drôle, et si en plus elle est bien racontée… Mais clair, que tellement c’était bien raconté que j’ai cru les voir moi les noircifs sur le macadam du parking.

Enfin bon, d’ici un an, nous aurons une belle France bien blanche, avec des tâches de rousseurs et des cheveux roux, bien roux, avec sur le tout, une bonne paire d’yeux bleu haaaaaa, ça va bien rendre…

Moi je m’en fous j’ai déjà les yeux bleus, pour les cheveux roux, 5 minutes chez le coiffeur et HOP le tour est joué.

Enfin, bien content quand même, ha le Brice, comme les choses vont, dans 6 mois il récupère le fauteuil de l’autre nazi de Fillon, et à la prochaine présidentielle on l’a comme président… Je suis bien content en pensant à ça… Non parce que si y s’passe ça et ben j’aurai mes entrées à l’Elysée, parce que le Brice c’est un bon copain, j’étais à l’école avec lui, on s’amusait à dénoncer les négrots du lycée auprès du directeur avec des lettres anonymes, des histoires de viols, de drogue… Et ça fonctionnait à chaque coup !!!

HAAAAA… c’était la belle époque, et comme les choses vont, je risque plus d’être nostalgique encore longtemps.

Signé: A.H."

Merci Monsieur A ou H... Pour ce témoignage heuu, touchant...

Le baiser mortel du daron

Je suis au regret, et ce pour votre plus grande joie, de vous annoncer que ce feuilleton, après moult rebondissements à base de lunetterie, de violence, de sexe et de Popopopo, arrive à son terme. Oui, je vous l'accorde, il n'y a pas de chute et ça craint du boudin, comme on dit chez les gens bien élevés.

Mais bon, vous savez déjà tous comment ça va finir, cette histoire:
Louise Chichonne va ouvrir les yeux et initier Judas Vachut aux plaisirs de la position de la loutre bulgare, pendant que Vinicius Socrates Aranjo Luis Nazaré Lima de Nascimento Vasconcelos Garota de Ipanema, après avoir découpé les soeurs Iakovlévitch en petits dés, va déposer un dossier à l'Etat Civil pour changer son nom en Sylvain Mirouf, parce que ça sonne mieux.
Jocelyn le Birou et Florian Mazette ne mettront pas des masses de temps à se remettre de la perte de leurs dulcinées venues du froid, en essayant de vérifier si leur amitié virile pourrait résister à une nuitée de tendres papouilles consolatrices (la réponse est non: comme quoi le sexe, non seulement c'est sale mais en plus ça fout toujours la merde...).
Aujourd'hui, Jocelyn Le Birou, rangé des lunettes, gère une crêperie à Massy-Palaiseau, alors que Florian Mazette a repris le flambeau du Gang, main dans la main avec Stanislas Chevalet.

Ou pas.

La pierre qui roule qui fait déborder le vase.

Coucou à vous cher rouflaquiens !

Désolé de cette longue absence, qui je le sait, vous donne énormément de travail, mais j'avais moult choses à faire :

-Construire un himmense volume en carton, et en faire la pièce maitresse de mon année scolaire,
-Aller aux impots, puis rentrer chez moi.
-Claquer toutes mes thunes pour passer un concour à paris.
-M'apercevoir qu'il y'a une erreur dans ma déclaration -> retourner aux impots.
-Attendre comme un con, puis rentrer chez moi.
-Boucher un trou dans le mur de mon appart, revisser un radiateur dans le mur de mon appart, revisser un plafonnier dans le mur de mon appart, maudire ce putain de mur,
etc{murdemonappart}²...

et surtout, revenir une semaine plus tard pour découvrir 3 mois de travail en volume massacrés par une fuite d'eau dans le toit de l'atelier (exit "piece maitresse de mon année scolaire" donc, remmetre une pièce dans la machine et tout recommencre s'il vous plait, désirez vous de la vaseline ?).



J'aimerais dire : "y'a des jours ou on devrais rester couché", malheureusement, même couché ça me serait arrivé, et peut être même en pire. (plus d'impots, plus de fuite d'eau, plus de murs).

Alors il me faudra choisir une autre expression (empruntée à une conaissance fort sage au demeurant) : "La vie est une grande tartine de merde, faut en manger un peu chaque jour."

Ces derniers temps on peut dire que je me régale.

Sex and drugs and presbytie...

Et une nouvelle fournée de grand n'importe quoi. C'est bientôt la fin, je vous rassure...

Alors c'est Monkey, Tartine et Kreun qui rentrent dans un bar...

Moi y'en a pas avoir le temps pour dessiner, moi y'en a me faire couilles casser par humanité parce que moi crayons de couleurs trouver ça drôlement bien, mais moi emmerdé parce que pas avoir temps pour faire dessins. Alors moi dépression, y'en aller boire des binouzes avec la rouflaquett team, et chercher à pécho des fifilles.

Moi trop bourrer pour dessiner, Riggs lui habitué à grosse taule, lui passer une semaine à faire guide Michelin des pubs londonien, lui grosse éponge à bière. Lui dessiner Monkey, Kreun et Tartine en train de faire les bogosses. Moi vomir sur mes santiags.

Gang des Lunettes #2

Je crois qu'il n'y a rien à ajouter...

London calling.

Suite des aventures de V et Murtaugh. Et c'est moi qui m'y colle alors que je ne participe même pas à leur projet à la con (hormis quelques conseil par dessus l'épaule)!


Si je suis un peu chafouin aujourd'hui, c'est parce que rien de va plus entre Murtaugh et moi: il ne me regarde plus, ne me dis plus qu'il m'aime, et c'est tout juste si j'ai le droit à un "bonjour" le matin. Et tout ça pourquoi? Parce que je glande, tandis que lui cherche désespérément à bosser! Pauvre petite chose...


Et quitte à faire quelque chose de mal, autant le faire bien. J'ai donc décidé en mon âme et conscience de quitter une petite semaine Angoulême beach pour me la couler douce à Londres. Oui je sais, je devrais sûrement rester et bosser, mais je me sens pas vraiment chaud pour ça en ce moment, c'est malheureux mais c'est comme ça.

See you soon bitches!

Voici venu : l'été.

Pour sacrifier à une tradition de longue date dans la blogosphère lorsqu'elle se trouve en manque de contenu, voici un poème de mon propre cru (ce sera bref, c'est un haïku) :

L'été :
Le temps des impots,
Des fleurs baisent dans ton nez,
Et il fait trop chaud.

Vivement l'hiver : c'est moins beau, mais c'est plus vivable.