Et la sentence est...

Cake Mousquetaire.

Hayoye les amis !
Ce petit mot pour rassurer les nombreux et fidèles lecteurs de la rouflaquett, qui chaque jour font fondre 3 lignes téléphoniques
tant leur nombre s'accroit. La Chine envisage déjà de sérieux dégâts collatéraux sur sa sidérurgie, et tout ça grâce à l'amour sans bornes que vous nous portez. D'ailleurs, qu'importe le monde et ses petits soucis écologiques superficiels, tant que la rouflaquett brille de tous ses feux sur l'humanité en liesse ?

Bref.

En ce moment, j'affronte avec bravoure la recherche d'un emploi, et la création d'un site internet.
Contre vents et marrés, je voguais vers un avenir radieux quand soudain, une voie d'eau s'est déclaré dans mon ordinateur.
N'écoutant que mon incompétence, je me suis lancé à l'assaut du problème, changeant irrémédiablement ma monture boiteuse
en vieille rosse agonisante.
Je vous écris depuis une bassine portable, hâtivement jetée en mer pour échapper au naufrage.
La cargaison de mon fidèle brick est heureusement toujours intacte, mais il me faudra quelques temps pour aller la repêcher.

A part ça, je continue à dessiner des histoires,
à faire de la pâtisserie,
à dessiner des histoires de recettes de pâtisserie...
Sur la miniature présente ci-dessous, vous pouvez d'ailleurs admirer le Cake Mousquetaire, qui donne son nom à cette note de blog.
Il a trois couleurs et je n'en suis pas peu fier. La recette viendra bientôt.

Sinon, autre nouvelle d'importance : alors que les concurrents directs de notre belle institution en sont réduits à couvrir
des festivals de droite, je me rendrais bientôt à Annecy, et essaierais (dans la mesure de mes deux mains en bois) de faire un compte rendu intéressant du Festival International du Film d'Animation, véritable bacchanale culturelle qui se tient au cœur de ma ville natale (et fort belle au demeurant, mais je vous en parlerais plus longuement bientôt).

Je vous fait à tous de gros bisous.

Ordem & Tumultu / final

Et voilà la dernière version d'Ordem & Tumultu qui sera publié prochainement dans la revue Animal Public. Pour les nouveaux venus, et je vous imagine nombreux vous trouverez dans les rubriques de la colonne de droite des archives trois années et bientôt quatre du blog, des libellés où on peut trouvez les travaux de chacun des contributeurs rangés et des liens vers les sites des copains. Bonne lecture.

Sous le masque

TA-DAAAAA! Et oui: il est blond!

La première fois, c'est jamais terrible...

Voici la toute première version de Wild in the wood (c'est le nom de notre histoire de gamins masqués). Cette version, inachevée - ça va sans dire, date un peu puisque nous avons commencé à la dessiner il y un tout petit peu moins d'un an et demi avant de jeter l'éponge au bout de quelques semaines. Beaucoup de choses ont changé depuis ce premier essai (peu concluant, il faut bien l'avouer) tant au niveau narratif que graphique.

Personnellement, je ne suis pas mécontent d'être passé à autre chose et d'avoir pris un peu de recul, tout ça pour mieux s'atteler un an plus tard à la version 1.0 que Murtaugh et moi sommes actuellement en train de peaufiner.

Inutile de préciser que ces trois pages n'ont plus grand chose à voir avec la nouvelle version, en particulier le visage du petit garçon...visage que nous vous dévoilerons lundi!

Donc la prochaine fois, un visage!

Ça c'est d'la passation de pouvoir!

A ceux ou celles d'entre vous qui envisagent de regarder (ou alors qui ont déjà regardé - tout dépend de l'heure à laquelle vous lisez cette note) la passation de pouvoir entre Nicolas Sarkozy et François Hollande...si c'est votre cas, sachez ceci:

Il serait peut-être temps de trouver un travail plutôt que rester devant la télé un mardi matin!

Mais puisque de toute évidence vous avez du temps à perdre, pourquoi ne pas regarder une autre non-moins-prestigieuse passation de pouvoir? Hein?

Major, avance!

Hop là! une image du terrier.

Un moment de détente

Patate men

Nous vous avions promis un visage, mais à la place voici DES visages!

Je précise tout de même que ces dessins sont l’œuvre de Martin Riggs, et que je n'ai rien à voir là dedans ( d'ailleurs je le soupçonne d'être secrètement influencé par les "hommes-couilles" de Mr.V ). Curieusement, Riggs dessine ce genre de faciès sans même sans rendre compte, lorsqu'il est au téléphone, ou bien lorsqu'il assiste à un débat présidentiel..."Ça me détend" me dit-il.

Haut les masques?

Bientôt...un visage!

Le Masque